Expert-comptable pour graphiste freelance : ce qu’il faut savoir
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Le graphiste freelance doit remplir de nombreuses obligations comptables et fiscales. Leur ampleur dépend de son statut juridique (micro-entreprise, EI, EURL, SASU ou autre) et de son régime fiscal. Au minimum, il doit tenir un livre des recettes, déclarer les revenus tirés de son activité, payer des cotisations sociales, et collecter la TVA. Il est donc pertinent de se faire accompagner par un comptable pour graphiste freelance : un cabinet d’expertise qui connaît les spécificités comptables, fiscales et sociales des indépendants. L’assistance d’un professionnel est également utile à toutes les étapes de la vie de l’entrepreneur, depuis la création de son entreprise jusqu’au développement de son activité, en passant par la rédaction du business plan et le suivi de la comptabilité du freelance. Voici ce qu’il faut savoir sur la gestion comptable du graphiste indépendant.
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Sommaire
- Quelles sont les obligations et les spécificités comptables d’un graphiste indépendant ?
- Quel régime fiscal choisir pour les graphistes en entreprise individuelle ou en société ?
- Quelles cotisations sociales sont liées à l’activité de graphiste freelance ?
- Faut-il adhérer à une AGA pour une activité de graphiste en BNC ?
- Quels sont les avantages d’un expert-comptable en ligne pour graphiste ?
- Quels sont les tarifs d’un comptable pour graphiste freelance ?
Quelles sont les obligations et les spécificités comptables d’un graphiste indépendant ?
Le graphiste indépendant est un professionnel des arts graphiques qui conçoit des projets visuels pour le compte de ses clients. Il exerce une profession libérale en nom propre (micro-entreprise ou entreprise individuelle) ou en société (EURL, SASU, SARL, SAS).
Lorsque le graphiste produit des œuvres originales et uniques, il peut relever du statut d’artiste-auteur et recevoir des droits d’auteur. Les obligations comptables du graphiste freelance dépendent du statut et du régime fiscal, mais il existe un certain nombre d’impératifs communs à tous les cas de figure. Il est donc intéressant de déléguer ces obligations à un cabinet comptable spécialisé dans l’accompagnement des graphistes et d’autres activités indépendantes.
Les formalités à suivre pour créer une entreprise
Les formalités de création d’entreprise sont plus ou moins complexes en fonction du statut. Il faut choisir la forme juridique adaptée, déclarer l’activité de graphiste, immatriculer l’entreprise, ouvrir un compte bancaire dédié, mais aussi rédiger les statuts et déposer le capital social dans le cadre d’une société. Un comptable pour graphiste freelance peut prendre ces démarches en charge et aider à la rédaction d’un business plan efficient.
La tenue de la comptabilité du graphiste freelance
Peu importe son statut juridique, le graphiste indépendant doit tenir une comptabilité. Il doit au minimum tenir un livre des recettes (régime micro-BNC), suivre ses recettes et ses dépenses et tenir un registre des immobilisations et des amortissements (régime de la déclaration contrôlée), voire établir une comptabilité commerciale (régime de l’impôt sur les sociétés). L’assistance d’un expert-comptable pour graphiste freelance est plus que recommandée.
La réalisation des déclarations fiscales obligatoires
Les déclarations fiscales font pleinement partie des obligations du graphiste indépendant, qui doit déclarer aux impôts les revenus de son travail. Au régime micro-BNC, il suffit de remplir un formulaire 2042 C Pro. Au régime de la déclaration contrôlée, ce formulaire doit être complété par une déclaration 2035 qui permet de déduire les charges au réel. Ces déclarations peuvent être prises en charge par un comptable pour graphiste freelance.
La gestion des cotisations sociales
Le graphiste indépendant dépend de l’Urssaf pour ses cotisations sociales. Toutefois, le mode de calcul des charges (sur la base de son chiffre d’affaires ou de sa rémunération) dépend de son statut juridique. Les choses sont encore différentes lorsque le graphiste relève de la Maison des artistes-auteurs pour son activité.
L’optimisation fiscale de l’activité professionnelle
Les choix fiscaux ont un effet significatif sur le développement de l’activité du graphiste freelance. Il est essentiel de bien sélectionner son régime d’imposition à la base (micro-BNC, déclaration contrôlée ou régime réel, mais aussi impôt sur le revenu ou impôt sur les sociétés) afin d’optimiser sa fiscalité. L’aide d’un bon comptable pour freelance est ici indispensable.
La gestion des procédures juridiques
La gestion juridique est incontournable à différents stades de l’activité de l’entrepreneur : pour créer sa structure, pour rédiger ses contrats de prestation, pour modifier ses statuts ou changer le nom de sa société, ou encore en cas de litige avec un client ou avec un organisme tiers. Les experts-comptables mettent leurs compétences et leur connaissance aiguë des problématiques juridiques au service des freelances.
Quel régime fiscal choisir pour les graphistes en entreprise individuelle ou en société ?
En exerçant votre activité de graphiste en tant qu’indépendant, vos revenus appartiennent à la catégorie des bénéfices non commerciaux (BNC) car vous vendez des prestations de services.
À ce titre, vous pouvez choisir entre trois régimes fiscaux en fonction de votre statut juridique : le régime micro-BNC, le régime de la déclaration contrôlée (tous deux soumis à l’impôt sur le revenu) et le régime de l’impôt sur les sociétés. Il existe un quatrième cas de figure : si vous relevez de la Maison des artistes-auteurs. Voici ce qu’il faut savoir pour faire le bon choix.
Le régime micro-BNC
Au régime déclaratif micro-BNC (appliqué de plein droit dans la limite de 77 700 € de chiffre d’affaires annuel) vos obligations fiscales sont allégées. Il faut simplement tenir un registre des recettes et déclarer vos résultats auprès de l’Urssaf, puis dans la déclaration de revenus. Un abattement de 34 % est automatiquement appliqué par l’administration fiscale pour couvrir vos charges. Jusqu’à un certain seuil de recettes, le graphiste indépendant bénéficie de la franchise en base de TVA.
Le régime de la déclaration contrôlée BNC
Au-delà de 77 700 € de chiffre d’affaires, c’est le régime de la déclaration contrôlée qui s’impose – ou sur option à tout moment si cela est plus intéressant. Il faut tenir un livre des recettes et des dépenses ainsi qu’un registre des immobilisations et des amortissements. Lors de la déclaration des revenus de l’activité, il est possible de déduire les charges professionnelles au réel. Dans ce cas de figure, il est recommandé de déléguer ses obligations fiscales à un comptable pour graphiste freelance.
Le régime de l’impôt sur les sociétés
Le graphiste indépendant peut choisir d’exercer en société sous différentes formes, seul (EURL ou SASU) ou à plusieurs (SAS, SARL). L’entreprise est redevable de l’impôt sur les sociétés : 15 % jusqu’à 42 500 € de bénéfices et 25 % au-delà. Il faut tenir une comptabilité de société commerciale, avec présentation des comptes annuels (bilan, compte de résultat et annexe). L’intervention d’un expert-comptable pour graphiste devient alors incontournable, à la fois pour mesurer la santé financière de la société à tout instant et pour garantir sa conformité.
Le statut d’artiste-auteur
Le graphiste freelance, s’il exerce une activité artistique créative, relève de la Maison des artistes-auteurs. Pour les revenus déclarés en BNC, le régime fiscal dépend du chiffre d’affaires réalisé l’année précédente. Lorsque les droits d’auteur sont déclarés par des tiers (éditeurs, producteurs ou organismes de gestion collective), ils sont imposables dans la catégorie des traitements et salaires. Là encore, l’aide d’un comptable pour graphiste freelance permet de se simplifier l’existence.
Quelles cotisations sociales sont liées à l’activité de graphiste freelance ?
Les cotisations sociales du freelance sont perçues par l’Urssaf et servent à financer la Sécurité sociale, la retraite, l’invalidité/le décès et la maternité/paternité, entre autres. Le taux de charges supporté par le graphiste indépendant varie en fonction de son statut social et de son régime déclaratif.
- Pour le graphiste en micro-entreprise, les charges sont calculées sur la base d’un pourcentage du chiffre d’affaires.
- Pour le graphiste en entreprise individuelle, les charges sont déterminées sur la base du résultat.
- Pour une entreprise soumise à l’impôt sur les sociétés, ce sont les rémunérations nettes et les dividendes (au-delà de 10 % du montant du capital) qui supportent les cotisations sociales. En SASU, ces charges sont calculées sur la rémunération brute reçue au titre du mandat social.
- Pour le graphiste qui exerce en tant qu’artiste-auteur, les charges sociales sont calculées sur la base du bénéfice net réalisé (chiffre d’affaires brut moins abattement de 34 %). Il est couvert par le régime général de la Sécurité sociale.
Faut-il adhérer à une AGA pour une activité de graphiste en BNC ?
Une association de gestion agréée (AGA) est un organisme qui accompagne les entreprises dans l’accomplissement de leurs obligations comptables et fiscales. L’adhésion est facultative, mais permet de bénéficier d’un avantage fiscal : une réduction d’impôt égale aux deux tiers des dépenses engagées pour l’adhésion et pour la tenue de la comptabilité, dans la limite de 915 € par an. C’est donc une bonne façon pour le freelance en BNC de profiter de l’assistance d’un expert-comptable pour graphiste et, dans le même temps, d’une fiscalité avantageuse.
Quels sont les avantages d’un expert-comptable en ligne pour graphiste ?
Aucune loi n’oblige le graphiste indépendant à se faire accompagner par un professionnel de la comptabilité. Techniquement, il a la possibilité de tenir lui-même sa comptabilité dans le respect des obligations adossées à son statut juridique et à son régime déclaratif.
Toutefois, l’intervention d’un comptable pour graphiste freelance est un avantage indéniable : c’est une manière de vous libérer des contraintes administratives et juridiques liées à la création, puis à la gestion courante de votre activité.
Un expert-comptable en ligne va vous aider à suivre votre trésorerie, à tenir votre comptabilité, à réaliser vos déclarations fiscales et sociales (en respectant les échéances), à déclarer votre TVA au bon taux, et à effectuer vos démarches juridiques. L’expert-comptable pour graphiste est également en mesure de vous donner des conseils au moment de créer votre entreprise, puis à toutes les étapes de son développement. Vous pouvez alors vous focaliser sur votre activité et sur la gestion de vos clients.
Quels sont les tarifs d’un comptable pour graphiste freelance ?
L’ampleur des missions prises en charge par le comptable pour graphiste freelance détermine en grande partie le coût de ses services. Les tarifs d’un expert-comptable varient en fonction des tâches qui lui sont déléguées, du temps consacré à la gestion de la comptabilité, et de la taille de l’activité. Il faut aussi tenir compte du fait que l’intervention d’un comptable en ligne revient moins cher que celle d’un cabinet de proximité, en raison de charges moindres et d’économies réalisées sur les frais de déplacement.
Avec Keobiz, vous pouvez bénéficier de l’accompagnement d’un comptable pour graphiste freelance à partir de 89 € HT par mois. En passant par notre cabinet, vous vous assurez de travailler avec des experts spécialisés dans les indépendants comme nos :